La Force de défense nationale sud-africaine (SANDF) a catégoriquement rejeté les allégations selon lesquelles deux de ses soldats déployés dans le cadre de la Mission de la Communauté de développement de l’Afrique australe en République démocratique du Congo (SAMIDRC) se seraient rendus aux rebelles du M23. Ces informations erronées ont été diffusées par divers médias, dont le National Security News.
Selon le communiqué publié mercredi, les soldats de la SANDF ont été retrouvés et ne sont pas retenus en otage par le M23. L’article ambigu publié par un correspondant anonyme de Washington est rejeté avec le mépris qu’il mérite. Il n’est pas rare que des articles de presse infondés et sans fondement soient écrits sur la SANDF depuis son déploiement en RDC dans le cadre de la SAMIDRC.
Les soldats sud-africains font partie de la SAMIDRC
Les soldats de la SANDF font partie de la SAMIDRC, déployée pour soutenir et aider le gouvernement du deuxième plus grand pays d’Afrique à rétablir la paix, la sécurité et la stabilité. La SANDF considère ces tentatives de discréditer ses forces de défense avec la plus grande gravité et s’engage à informer en permanence le public sud-africain de la situation et de la sécurité de ses membres en RDC.
En outre, il est important de noter qu’il y a eu d’autres incidents impliquant la SANDF. Récemment, deux soldats de la SANDF ont perdu la vie dans un attentat à la bombe lorsqu’une bombe mortier a touché leur caserne dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC).
De plus, deux autres soldats ont tragiquement perdu la vie dans un apparent meurtre-suicide. Ces événements mettent en lumière les défis auxquels sont confrontés les membres des forces armées, y compris les problèmes de santé mentale, dans les zones de conflit. Lire aussi : Deux soldats Sud-Africains de la SAMIDRC tués dans l’est de la RDC : quelle est la nature de l’attaque ? – Infocongo
Il est essentiel que la SANDF continue de prendre des mesures pour soutenir la santé mentale de ses membres et pour informer le public sur les développements concernant ses opérations en RDC.