Vient de paraitre : « La mondialisation à la lumière de la bible » du bishop Bony Musungayi

Un ouvrage de plus, tout frais, tout chaud vient de paraitre et a été porté sur les fonts baptismaux, « La mondialisation à la lumière du monde », du Bishop Bony Musungayi. Cest l’Hôtel Sultani, dans la commune de la Gombe, qui a servi de cadre au baptême de ce livre, oeuvre du responsable de l’église le Tabernacle, samedi 06 juillet 2019.

L’auteur a signifié à l’assistance qu’il était plus que temps d’informer l’Eglise peuple de Dieu, en particulier, et tous les hommes de la vitesse par laquelle le monde va vers la perdition par la ruse de Satan qui a investi toutes les institutions qui dirigent le monde actuel : « Le message clé est que le monde est entrain de courir à grande vitesse vers sa perdition. Nous venons freiner un peu pour que les hommes reprennent conscience et  qu’ils rentrent vers leur créateur, l’Eternel des armées à la lumière de la Bible et ces hommes ne peuvent atteindre Dieu qu’au moment où ils ont la Parole révélée de Dieu et ils pourront Le voir. »

Quant à la question de savoir pourquoi l’auteur a mis un accent particulier sur l’œcuménisme, l’homme de Dieu a souligné que la mondialisation, selon les politiques de ce monde, est exactement la même chose avec les religions de ce monde parce que, l’œcuménisme comme le dit le livre de Daniel 2, où l’on parle de ce statut dont les parties sont en matière différente, or, bronze, fer, argile. C’est cela l’œcuménisme,   l’unité dans la diversité. Le bishop Bonny Musungayi a reconnu que l’œcuménisme n’est autre chose que la Mondialisation.

Lire :  Vient de paraître aux Editions Les Trois Rivières, « La poésie libre à l’ère du virtuel »

Pour la fin du monde, une question qui a préoccupé l’assistance, le serviteur de Dieu a répondu que cela dépend de Dieu, le kairos, le temps de Dieu : « Dieu interviendra certainement à son temps et selon son bon vouloir et cela ne dépend pas de l’homme. »

Un livre pour éveiller les consciences et servir de boussole sur la marche du monde

Cette œuvre d’esprit de 191 pages, est un éveilleur de conscience, une boussole sur la marche actuelle du monde avec des institutions internationales  qui ont établi un nouvel ordre mondial. L’auteur cite même quelques grands noms de ce monde comme le Pape jean Paul II, l’ancien patron du Vatican, Georges Bush Junior et autres qui ont contribué à la mise en place de ce nouvel ordre mondial. Il aborde aussi la question sur les nouvelles technologies de l’information, NTIC, où le diable ne cesse d’attirer plus d’adeptes à sa cause voyant la fin venir et qu’il ne saura aller seul dans la géhenne.

Le bishop Bony Musangayi a replacé le contexte de la situation politique de la RDC son pays qui n’est autre que la résultante d’une politique extérieure : « les grands du monde créent des crises au niveau mondial et la RDC fait partie du monde et ne peut que subir ce que les grands de ce monde sont en train de créer. » Ayant abordé presque toutes les questions d’actualité dans cet ouvrage qu’un autre écrivain présent qui a procédé à la présentation de ce livre, le docteur Hubert, lequel a recommandé à tout le monde sans exception de se procurer cette œuvre d’une grande richesse issue de plusieurs années de recherche, et surtout bien fourni, la connaissance étant une denrée rare et qui vaut son pesant d’or. Cet ouvrage est fixé à 20$ Us, soit 33.000 Fc.

Lire :  Léon Kengo wa Dondo signe ses mémoires dans " La passion de l'Etat"

La femme est le vis-à-vis de l’homme

Répondant à la question de la Rédaction d’Infocongo.net sur l’égalité entre l’homme et la femme prônée haut et fort par les décideurs de ce monde , l’auteur a reconnu la place de la femme à côté de l’homme, tout en soulignant que cette dernière est venue de l’homme, et qu’il n’y a pas lieu de trop spéculer, car c’est l’une des ruses de Satan de faire croire au monde que la femme est l’égale de l’homme : «Dieu a   créé l’homme à son image et à sa ressemblance et de l’homme est sortie la femme. La femme n’est rien d’autre que le vis-à-vis de l’homme. C’est un autre homme. Le premier que l’on appelle Ish et son féminin c’est Isha, il n’y a pas des différences. »

En fin, l’auteur a  souligné aussi que la Bible a déjà tout dit mais son ouvrage est une lampe qui vient éclairer et qu’il faut allumer. Il a demandé à tous les potentiels  lecteurs de « Racheter le temps car les jours sont mauvais » Que chaque personne fasse un effort pour être dans le bon et le droit chemin : « Comme le livre d’Apocalypse dit : garder sa robe propre ».

Jacques Kalokola