Eglise Saint Sacrement Binza Delvaux

Ouverte le mercredi 19 janvier à la paroisse Saint Sacrement à Binza-Delvaux avec six confessions religieuses, notamment l’église Catholique, l’Armée du Salut, la CBCO, la CEC, la CEAC et la CBFC, la semaine œcuménique s’est clôturée le mercredi 26 janvier 2022. 

La 6e journée clôturant cette semaine d’unité entre les confessions religieuses à la paroisse Saint Sacrement du Doyenné portant le même nom, a connu une ambiance de prière haute en couleurs dont la prédication a été assurée par la CEAC, la modération était revenue à la CBCO, les Écritures Saintes lues par la CEAC, l’animation a été faite par l’Armée du Salut et la partie louange a été assurée par la chorale Catholique de la paroisse Saint Sacrement.

On se rappelle que durant toute la semaine, chaque confessions religieuse a eu à assumer à tour de rôle des responsabilités égales. Chacune d’elles avait droit à une journée pour recevoir les autres dans son église pour la prière qui s’organisait dans l’après-midi.

C’est pourquoi, à la journée d’ouverture, le mercredi 19 janvier 2021, à la paroisse Saint Sacrement, les six confessions religieuses ont joué chacune, un rôle important. L’Église Catholique a assumé la modération et l’animation, la lectures des Écritures Saintes étant revenue à la CEC, la CBFC s’est occupée de la prédication et l’Armée du Salut a assuré la partie chorale.

La semaine de l’unité au sein des églises locales qui s’est tenue du mercredi 19 au mercredi 26 janvier 2022 sur toute l’étendue de la ville province de Kinshasa a éteint ses lampions sous une note de satisfaction. À la paroisse Saint Sacrement de Binza-Delvaux où les six confessions religieuses de Kin-Ouest ont clôturé les six jours œcuméniques, les chrétiens qui y ont pris part ont été animées d’amour et ils ont vu leurs confessions religieuses consolider l’unité entre-elles. Elles ont beaucoup axé leurs prières pour le retour de la paix à l’Est du pays, encore en proie à cause de la présence de plusieurs mouvements rebelles dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu. Et, à la classe politique d’avoir l’amour du pays afin de léguer aux générations futures un Congo meilleurs.

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Gel Boumbe