Walle Lufungula

Le Gouverneur en fonction de la province de la Tshopo, Walle Lufungula, a été dans la rue le week-end dernier, soit samedi 25 juillet, à l’occasion de la marche organisée par sa famille politique, le Front Commun pour le Congo, Fcc, en soutien à la constitution et aux institutions de l’Etat.

Une première à Boyoma Singa Mwambe

Ce fut une grande surprise de voir autant de monde inonder les artères de la troisième ville du pays sous la houlette du premier citoyen de la ville, qui a d’ailleurs préféré passer son jour d’anniversaire qui coïncidait avec cet évènement de portée nationale avec sa population dans la rue pour surtout soutenir la coalition Fcc-Cash comme l’a si bien signifié la maire-adjointe de cette ville, Madame Eugénie Wandandi,  dans son allocution devant la première autorité politico-administrative de la province, Louis-Marie Lufungula :

 «  Nous soutenons avec la même énergie et sans réserve la stabilité des institutions politiques constitutionnelles nouvellement installées ».

Une crise institutionnelle stérile et sans lendemain

Eugénie Wandandi a déclaré tout haut au siège de l’Hôtel de Ville qu’étant donné que les animateurs des institutions politiques, au niveau provincial, sont en majeur partie, l’émanation du Fcc, le regroupement proche du « Rais » encourage la stabilité de ses deux institutions (gouvernement provincial et assemblée provinciale) à travers un dialogue pour ne pas prolonger la province dans une crise interinstitutionnelle stérile avec des conséquences incalculables pour son décollage.

Walle dans son calme olympien

Le numéro de la Tshopo, Walle Lufungula, dans son équilibre légendaire, n’a pas tardé à rassurer la paisible population boyomaise dont le sens de l’hospitalité est reconnu au niveau national comme international que le souhait émis par la maire-adjointe sera remis à qui le droit, à savoir le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi Tshilombo.

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Le souhait de ce digne fils du terroir aussi expérimenté est que la paix règne dans cette partie du pays et que chaque citoyen cherche calmement son « Muhoko », manioc ; la paix qui est gage du développement et décollage de la province de la Tshopo.

Jacques Kalokola