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Julien Paluku quitte le FCC pour l’Union sacrée pour la Nation de Tshisekedi

Julien Paluku, actuel ministre de l’Industrie et ancien Gouverneur du Nord-Kivu, ainsi que son parti le Burec, viennent de quitter le Fcc de l’ancien président Joseph Kabila, et annoncent leur adhésion à l’Union sacrée pour la Nation du Président Félix Tshisekedi.

Julien Paluku, a assumé pendant 12 ans, de 2006 à 2017, les fonctions de Gouverneur du Nord-Kivu, et passait jusque-là pour un des solides soutiens de l’ancien président Joseph Kabila

Selon certaines sources à Kinshasa, il aurait mal digéré sa nomination comme ministre de l’Industrie, un poste qu’il considérait comme moins prestigieux pour lui, au regard de son apport politique et sa loyauté au Fcc et à son autorité morale Joseph Kabila.

D’origine Nande, une ethnie parmi les plus influentes du Nord-Kivu et hostile à l’ancien régime de Joseph Kabila, jugé plus favorable à l’ethnie tutsi, Julien Paluku pourrait aussi avoir été influencé dans sa décision par les soubresauts politiques et sécuritaires qui affectent ce coin du pays depuis de longues années, où écument milices tribales et groupes armés étrangers.

Julien Paluku, actuel ministre de l’Industrie et ancien Gouverneur du Nord-Kivu, ainsi que son parti le Burec, viennent de quitter le Fcc de l’ancien président Joseph Kabila, et annoncent leur adhésion à l’Union sacrée pour la Nation du Président Félix Tshisekedi.

Julien Paluku, a assumé pendant 12 ans, de 2006 à 2017, les fonctions de Gouverneur du Nord-Kivu, et passait jusque-là pour un des solides soutiens de l’ancien président Joseph Kabila

Selon certaines sources à Kinshasa, il aurait mal digéré sa nomination comme ministre de l’Industrie, un poste qu’il considérait comme moins prestigieux pour lui, au regard de son apport politique et sa loyauté au Fcc et à son autorité morale Joseph Kabila.

D’origine Nande, une ethnie parmi les plus influentes du Nord-Kivu et hostile à l’ancien régime de Joseph Kabila, jugé plus favorable à l’ethnie tutsi, Julien Paluku pourrait aussi avoir été influencé dans sa décision par les soubresauts politiques et sécuritaires qui affectent ce coin du pays depuis de longues années, où écument milices tribales et groupes armés étrangers.

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